SHIREN
Guest
Ce n'est pas !!!!!! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! !
Qu'est-ce que je lis ?
J'étais une artillerie.
Parle-nous.
m 107
♪
amphibiens comme 113 etc.
Bonjour exa......
Dimanche saint
Qu'est-ce que je lis ?
J'étais une artillerie.
Parle-nous.
m 107
♪
amphibiens comme 113 etc.
Bonjour exa......
Dimanche saint
Exatem
Guest
Tu as raison, peut-être que j'en ai parlé dans "plus et moins..." mais je devais mieux préciser.
les "commandants" comme je les ai appelés, sont une classe de 4 unités qui mm commandé en 1999. sont plus probablement définies numc (nouvelles unités mineures combattant) ou plus simplement des "patches".
sont les bateaux qui sont parmi les principaux protagonistes de nostrum de mer. les quatre bateaux sont appelés "juseppe cigala fulgosi", "coast borsini, "ener bettica", et "adriano foscari", en mémoire de autant de décorés de médaille d'or à la valeur militaire pour les entreprises achevées dans la Seconde Guerre mondiale.
ont une longueur de 88,6 mètres; largeur de 12,2 m; hauteur de construction de 8,2 m pour un déplacement de plus de 1800 toon pleine charge.
2 diesel wärtsilä-nsd w18-v-26 xn avec une puissance de 6480 kw à un 1000 r.p.m. qui développent une vitesse continue de 25 noeuds et une vitesse de pointe de 26 noeuds sur 2 axes avec 2 hélices avec 5 lames pivotantes, 2 boîtes de vitesses fincantieri, 2 sabres, il ya 1 hélice de manoeuvre à l'avant.
les nouvelles patrouilles ont été les premières unités furtives de la marine italienne, officiellement commandées en avril 1999 dans le but de remplacer les hydrofoils dispersés et de maintenir la deuxième ligne à 16 unités.
des quatre bateaux les joints p493 ont été construits avec la superstructure composite au lieu d'acier, cela a permis d'économiser 40% du poids avec une réduction conséquente de la consommation et de l'usure dans le cycle de vie du navire. la structure a été réalisée par intermarine avec la demande expresse de la marina de maintenir inchangé les géométries par rapport à la version en acier.
la superstructure est principalement construite en fibres de verre dûment intégrées avec d'autres fibres structurales qui donnent des caractéristiques supplémentaires telles que la zone de pont, qui comprend une protection balistique intégrée faite de couches alternées de fibres de fibre de verre et d'aramide qui offrent en même temps la résistance structurelle et la protection contre la menace d'un calibre std né 7.62. pour augmenter la couverture des appareils électroniques certaines parties de la coque sont des fibres de carbone intégrées.
le foscari a récemment été choisi pour expérimenter le bouclier furtif au canon principal et pour les essais de davide/dart munitions pour le canon oto 76/62. le foscari, dernier de la classe, a été farci en janvier 2004.
Bonjour, Enzo. Je vous remercie.
Ce n'est pas que je connaisse beaucoup l'armée.
Puis j'aimerais fermer la flotte en visitant le vaisseau, le chou-fleur.
Voyons voir. Je trouve juste du temps.
Dernière édition:
tecnico_plast
Guest
Pourquoi ? Les Français ?
Exatem
Guest
Je ne sais pas qui est la faute, franchement, je ne sais même pas si c'est totalement vrai ou à quel point c'est mauvais.
Mais peut-être, que nous sommes généralement « bons à rien », cette fois nous avons trouvé mieux!
numero1
Guest
Merci pour la réponse exa, toujours précise et ponctuelle :finger:
Exatem
Guest
Devoir !
J'ai trouvé du matériel sur les zumwalts ddg américains (j'ai mentionné précédemment).
considérant que c'est un projet innovant, j'ai pensé que je passerais du temps avant de faire face au chou.
Qu'en pensez-vous ? Intéressant ?
tecnico_plast
Guest
aller, mais il doit y avoir tellement de photos, je ne peux pas toujours être avec le dictionnaire en plein air:biggrin::wink::redface:
numero1
Guest
ahia et ce qui est...Devoir !
J'ai trouvé du matériel sur les zumwalts ddg américains (j'ai mentionné précédemment).
considérant que c'est un projet innovant, j'ai pensé que je passerais du temps avant de faire face au chou.
Qu'en pensez-vous ? Intéressant ?
:confus:
Quelque chose que vous mangez??
Bref, en ce qui me concerne, je suis omnivore, donc si vous voulez partir, allez-y. - Oui.
Bonjour.
Exatem
Guest
Nous commençons la longue discussion habituelle sur un sujet historique/technique en continuant à analyser les tendances actuelles dans les mers du monde. Aujourd'hui nous allons à la couture dans l'usage...
premessaen analysant ce qui sont les nouveaux "tendenze" parmi les unités militaires de presque tous les marines du monde, nous avons mentionné aux unités lcs et à la classe ddg1000, c'est-à-dire les nouveaux destroyers américains, un programme pour dire peu ambitieux à la fois en nombre et en objectifs. Mais d'abord, nous voyons comment les Américains ont interprété le concept de navire modulaire par rapport à ce que leurs collègues européens ont fait.
la fin de la guerre froide et de l'attaque terroriste immédiatement en octobre 2008 par le destroyer .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Cela a conduit à une reformulation de la stratégie maritime américaine, appelée -'puissance marine 21, articulée sur trois principes fondamentaux: projection offensive, puissance défensive et, déploiement des forces.
Ces trois familles étaient les bases sur lesquelles le nouveau concept d'exploitation a été construit, connu sous le nom de "conops global" qui définissait les rôles et les fonctions de chaque catégorie d'unités disponibles pour l'appareil naval. Dans ce contexte, elle a joué un rôle fondamental dans une unité qui garantit une présence effective dans les zones côtières aussi éloignées du continent américain. le programme Ics a répondu et ces besoins et aurait aidé à atteindre l'objectif d'une marine nous portant le nombre de ses unités à 315, un nombre en dessous qui a été jugé très risqué à descendre, mais en même temps réussissant à certaines lacunes par rapport à la capacité d'exécuter certaines missions.
la puissance de mer 21 prévoit également le remplacement des 51 frégates de la classe «perry», des unités conçues en pleine guerre froide mais arrivées maintenant à la fin de la carrière, avec des bateaux moins chers, une opération à encadrer même dans le contexte du renouvellement de la flotte américaine, conscient qu'il serait très difficile d'augmenter le nombre de transporteurs, croiseurs et, sous-marins. En pratique, la nouvelle marine américaine aurait dû être centrée sur trois plates-formes (à l'exclusion des porte-avions, des véhicules sous-marins et du soutien amphibie): dd(x), cg(x) et lcs.
seulement que la nouvelle classe de croiseurs est disparu, les destroyers ont passé comme nous verrons de 32 à 3 et les lcs, ont été fortement redimensionnés puisqu'il ne va peut-être pas, au-delà des 32 unités.
à leur place une nouvelle classe d'unités par heure seulement mentionné, probablement une frégate, plus probablement une version modifiée des mêmes lcs. Dans la pratique, il s'agit d'un échec total dans un environnement complexe et sûr.
la marine américaine ces dernières années a accumulé une utilisation opérationnelle intense de ses unités dans tous les coins de la planète, épuisant les ressources économiques toujours moins victimes des coupes imposées par les dernières administrations, après des années de croissance constante des fonds alloués à la vague d'engagement antiterroriste. Ce renversement de route a conduit à une analyse approfondie de l'ensemble de l'appareil, qui a également considéré de nouveaux besoins opérationnels, comme le repositionnement dans les régions asiatiques du Pacifique plutôt que dans l'Atlantique Nord. le carrefour devant lequel les forces armées de l'usage ont été trouvées, a pris des décisions pour dire peu douteux dont sont responsables en partie le pentagone et en partie les politiciens.
les programmes pour dire peu de pharaons enfants de visions déformées, à la fois de courte durée parce qu'ils se sont révélés trop coûteux et/ou parce que conceptuellement faux, ils ont survécu au coût d'un financement très important.
certains exemples peuvent être des clarificateurs...
le «futur système de combat» de l'armée clamorosamente a échoué après avoir littéralement dévoré les fonds et le financement pendant des années, programme fortement recherché par le ministre de la Défense donald rhumsfeld qui fournirait l'armée 18 nouveaux systèmes du ciel et de la terre intégrés entre eux selon la doctrine mythique du c4i (commande, contrôle, communication, ordinateur et intelligence).
le véhicule de combat expéditionnaire du Marine Corps, un prototype de véhicule amphibie caractérisé par de nombreux problèmes, aussi importants, de caractère technique et de développement.
ou pour nous, l'armée de l'air, le f22, (ils ont été faits au total 187 au coût unitaire de 339 millions de dollars) et le b2, dont le coût, entre les coûts de conception, de développement, de production et d'intégration du nouvel équipement, a été fixé sur une valeur d'environ 48 milliards de dollars (ce chiffre, réparti sur seulement 21 spécimens, se traduit par un coût de 2,2 milliards de dollars, même des programmes embarrassants en nombre.
et le f35, pour rester en actualité, ne montre pas mieux...
(suivre...) )
premessaen analysant ce qui sont les nouveaux "tendenze" parmi les unités militaires de presque tous les marines du monde, nous avons mentionné aux unités lcs et à la classe ddg1000, c'est-à-dire les nouveaux destroyers américains, un programme pour dire peu ambitieux à la fois en nombre et en objectifs. Mais d'abord, nous voyons comment les Américains ont interprété le concept de navire modulaire par rapport à ce que leurs collègues européens ont fait.
la fin de la guerre froide et de l'attaque terroriste immédiatement en octobre 2008 par le destroyer .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Cela a conduit à une reformulation de la stratégie maritime américaine, appelée -'puissance marine 21, articulée sur trois principes fondamentaux: projection offensive, puissance défensive et, déploiement des forces.
Ces trois familles étaient les bases sur lesquelles le nouveau concept d'exploitation a été construit, connu sous le nom de "conops global" qui définissait les rôles et les fonctions de chaque catégorie d'unités disponibles pour l'appareil naval. Dans ce contexte, elle a joué un rôle fondamental dans une unité qui garantit une présence effective dans les zones côtières aussi éloignées du continent américain. le programme Ics a répondu et ces besoins et aurait aidé à atteindre l'objectif d'une marine nous portant le nombre de ses unités à 315, un nombre en dessous qui a été jugé très risqué à descendre, mais en même temps réussissant à certaines lacunes par rapport à la capacité d'exécuter certaines missions.
la puissance de mer 21 prévoit également le remplacement des 51 frégates de la classe «perry», des unités conçues en pleine guerre froide mais arrivées maintenant à la fin de la carrière, avec des bateaux moins chers, une opération à encadrer même dans le contexte du renouvellement de la flotte américaine, conscient qu'il serait très difficile d'augmenter le nombre de transporteurs, croiseurs et, sous-marins. En pratique, la nouvelle marine américaine aurait dû être centrée sur trois plates-formes (à l'exclusion des porte-avions, des véhicules sous-marins et du soutien amphibie): dd(x), cg(x) et lcs.
seulement que la nouvelle classe de croiseurs est disparu, les destroyers ont passé comme nous verrons de 32 à 3 et les lcs, ont été fortement redimensionnés puisqu'il ne va peut-être pas, au-delà des 32 unités.
à leur place une nouvelle classe d'unités par heure seulement mentionné, probablement une frégate, plus probablement une version modifiée des mêmes lcs. Dans la pratique, il s'agit d'un échec total dans un environnement complexe et sûr.
la marine américaine ces dernières années a accumulé une utilisation opérationnelle intense de ses unités dans tous les coins de la planète, épuisant les ressources économiques toujours moins victimes des coupes imposées par les dernières administrations, après des années de croissance constante des fonds alloués à la vague d'engagement antiterroriste. Ce renversement de route a conduit à une analyse approfondie de l'ensemble de l'appareil, qui a également considéré de nouveaux besoins opérationnels, comme le repositionnement dans les régions asiatiques du Pacifique plutôt que dans l'Atlantique Nord. le carrefour devant lequel les forces armées de l'usage ont été trouvées, a pris des décisions pour dire peu douteux dont sont responsables en partie le pentagone et en partie les politiciens.
les programmes pour dire peu de pharaons enfants de visions déformées, à la fois de courte durée parce qu'ils se sont révélés trop coûteux et/ou parce que conceptuellement faux, ils ont survécu au coût d'un financement très important.
certains exemples peuvent être des clarificateurs...
le «futur système de combat» de l'armée clamorosamente a échoué après avoir littéralement dévoré les fonds et le financement pendant des années, programme fortement recherché par le ministre de la Défense donald rhumsfeld qui fournirait l'armée 18 nouveaux systèmes du ciel et de la terre intégrés entre eux selon la doctrine mythique du c4i (commande, contrôle, communication, ordinateur et intelligence).
le véhicule de combat expéditionnaire du Marine Corps, un prototype de véhicule amphibie caractérisé par de nombreux problèmes, aussi importants, de caractère technique et de développement.
ou pour nous, l'armée de l'air, le f22, (ils ont été faits au total 187 au coût unitaire de 339 millions de dollars) et le b2, dont le coût, entre les coûts de conception, de développement, de production et d'intégration du nouvel équipement, a été fixé sur une valeur d'environ 48 milliards de dollars (ce chiffre, réparti sur seulement 21 spécimens, se traduit par un coût de 2,2 milliards de dollars, même des programmes embarrassants en nombre.
et le f35, pour rester en actualité, ne montre pas mieux...
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Dernière édition:
Exatem
Guest
(... suite)
mais dans ce contexte non construit, la marine utilisée a été particulièrement distinguée pour laquelle non seulement un des programmes est ponctuel et sans problèmes. Par exemple, nous prenons les nouveaux porteurs d'avions nucléaires de type "gerald ford" dont la première coupe des plaques a eu lieu en août 2005. Actuellement, seule la première des 3 unités prévues est en construction (et on s'attend à ce qu'elle ne soit pas livrée avant 2016) mais pèse sur elle le poids des coûts (plus de 14 milliards une fois achevé), au-delà de 22% de plus que prévu.
d'énormes problèmes de fiabilité proviennent d'un système clé comme les émals (système de lancement d'aéronefs électromagnétiques). aussi pour les onze nouveaux lpd-17 de la classe --san antonio-- les coûts sont pratiquement doublés accumulant des retards de plus de 3 ans.
un programme que nous avons mentionné, mais qui sera le sujet suivant, est celui concernant les lcs (bateau de combact littoral) dont le but était de remplacer par une seule plate-forme à la fois la classe des frégates .
le programme, né il y a plus de dix ans, prévoyait comme un point de force la "modularité" qui est la possibilité de changer différents "paquets de mission" selon les besoins. une plate-forme qui devrait coûter environ 220 millions de dollars alors que nous sommes déjà environ 430÷440 millions (-)
Ceci parce qu'au lieu de choisir l'un des deux projets totalement différents présentés par les chantiers concurrents, il est préférable de procéder à l'achat des deux. aussi des soi-disant paquets de missions (miw, guerre des mines plus asw et asuw, guerre anti-sous-marine/anti-surface); personne n'est encore opérationnel et il n'est pas clair quand ils vont, combien ils vont coûter et surtout, combien ils seront efficaces par rapport aux missions assignées. à ce point, la résolution décidée par le secrétaire à la défense était de réduire de 52 à 32 les lcs à réaliser.
Paradoxalement, il semble que le seul programme relativement calme soit celui des destroyers de la classe "arleigh burke", unité conçue dans les années 80 et qui, selon les plans actuels de la marine américaine, continuera à être construit au moins jusqu'à la fin des années 2020 avec le vol de version iii; le résultat sera que les derniers burkes quitteront le service environ 70 ans après avoir été conçu...
et enfin nous en arrivons à l'un des protagonistes de ce chapitre que nous pourrions définir le représentant le plus significatif et embarrassant de la confusion qui règne dans la marine nous, la classe ddg-1000 de la classe .
(suivre...) )
mais dans ce contexte non construit, la marine utilisée a été particulièrement distinguée pour laquelle non seulement un des programmes est ponctuel et sans problèmes. Par exemple, nous prenons les nouveaux porteurs d'avions nucléaires de type "gerald ford" dont la première coupe des plaques a eu lieu en août 2005. Actuellement, seule la première des 3 unités prévues est en construction (et on s'attend à ce qu'elle ne soit pas livrée avant 2016) mais pèse sur elle le poids des coûts (plus de 14 milliards une fois achevé), au-delà de 22% de plus que prévu.
d'énormes problèmes de fiabilité proviennent d'un système clé comme les émals (système de lancement d'aéronefs électromagnétiques). aussi pour les onze nouveaux lpd-17 de la classe --san antonio-- les coûts sont pratiquement doublés accumulant des retards de plus de 3 ans.
un programme que nous avons mentionné, mais qui sera le sujet suivant, est celui concernant les lcs (bateau de combact littoral) dont le but était de remplacer par une seule plate-forme à la fois la classe des frégates .
le programme, né il y a plus de dix ans, prévoyait comme un point de force la "modularité" qui est la possibilité de changer différents "paquets de mission" selon les besoins. une plate-forme qui devrait coûter environ 220 millions de dollars alors que nous sommes déjà environ 430÷440 millions (-)
Ceci parce qu'au lieu de choisir l'un des deux projets totalement différents présentés par les chantiers concurrents, il est préférable de procéder à l'achat des deux. aussi des soi-disant paquets de missions (miw, guerre des mines plus asw et asuw, guerre anti-sous-marine/anti-surface); personne n'est encore opérationnel et il n'est pas clair quand ils vont, combien ils vont coûter et surtout, combien ils seront efficaces par rapport aux missions assignées. à ce point, la résolution décidée par le secrétaire à la défense était de réduire de 52 à 32 les lcs à réaliser.
Paradoxalement, il semble que le seul programme relativement calme soit celui des destroyers de la classe "arleigh burke", unité conçue dans les années 80 et qui, selon les plans actuels de la marine américaine, continuera à être construit au moins jusqu'à la fin des années 2020 avec le vol de version iii; le résultat sera que les derniers burkes quitteront le service environ 70 ans après avoir été conçu...
et enfin nous en arrivons à l'un des protagonistes de ce chapitre que nous pourrions définir le représentant le plus significatif et embarrassant de la confusion qui règne dans la marine nous, la classe ddg-1000 de la classe .
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Exatem
Guest
(... suite)
Parlons d'un programme né dans les années 90 avec peu de chiffres ambitieux, redimensionnés au fil du temps et qui a survécu aux réductions de dépenses. avant l'analyse technique... un peu d'histoire.
en 1991 la marine nous a commencé le combact de surface du 21 ème siècle, c'est-à-dire un programme dont le but est le développement d'une famille de plates-formes qui, du nombre initial remarquable est tombé à l'étude d'un destroyer de l'année (cacciatorpediniere) et d'uncruiser de l'année (cruiser) et ensuite se concentrer exclusivement sur le premier des deux baptisé dd-21. la nécessité de remplacer la classe de "spruance" et la classe de 51 frégates "perry" avaient déterminé le choix.
Il est évident que les sénateurs stratégiques sont de déterminer la nécessité de se doter d'un système plutôt que d'un autre et de la direction américaine, pris note des changements résultant de l'effondrement du bloc soviétique et, par conséquent, de la possibilité de plus en plus éloignée de confrontation navale dans les grands espaces océaniques, ils ont considéré qu'ils devaient se doter d'unités capables d'opérer dans les environnements de littoral, sans compromettre les opérations en haute mer.
Mais qu'est-ce que cela signifie d'opérer dans l'environnement de littoral ?
Nous commençons par une simple observation, 60% des zones urbaines du monde sont à moins de 50 km des côtes. ce qui en fait des capacités indispensables d'attaque terrestre, surtout en fonction du soutien aux opérations amphibies des marines. En fait, lors de la crise libyenne de 1983-1984 et de la « tempête déserte » de 1991, l'ancienne classe blindée « iowa » de la guerre mondiale et leur artillerie de 406 mm ont repris le rôle de soutien aux tirs navals (ngfs) et de soutien aux tirs navals de surface (nsfs).
mais les environnements côtiers sont le terrain de chasse des redoutables sous-marins conventionnels et de l'aviation au sol donc, ils font également des capacités antisom et antiaériennes indispensables. le nouveau dd-21 devrait donc posséder de telles caractéristiques dans la clé moderne et avec de larges marges de croissance, une plateforme qui est de la garantie d'architecture "ouverte" des futures modernisations.
En janvier 1995, le programme sc-21 a été lancé, qui comprenait les concepts exprimés jusqu'à présent. la marine nous, à cette occasion, croit mener à bien dans une seule solution à la fois la phase conception conception conception et la conception initiale conception de se concentrer immédiatement sur ce que le programme prioritaire qui est le dd-21.
deux équipes industrielles présentes à la course : le . le premier est conduit par les travaux de fer de bain / dinamiques générales avec la participation de la martine écluse, tandis que le second est composé du système de navire grumman nordop et du système de défense intégré de rayonthéon. comme chaque course, à la fin de la sélection, seule une des deux équipes aurait pu continuer avec la signature du contrat de construction des unités.
Mais le 7 mai 2001, alors qu'il s'agissait d'un pas loin de la sélection de l'équipe gagnante, la nouvelle est venue sur la suspension du programme 21 suite à une redéfinition complète des exigences et des concepts opérationnels qui mène en pratique à la définition d'une nouvelle famille d'unités.
donc les lcs (bateaux littoral) sont nés non seulement pour remplacer la classe de frégates "perry" mais aussi la classe de chasseurs "osprey" et "avenger" tandis que pour les croiseurs et les chasses prévues dans le programme supprimé 21 sont à venir des nouvelles importantes...
on pense commencer par la conception d'un destroyer sur la coque duquel on peut alors développer un nouveau croiseur.
dans ce réordre change aussi les noms des programmes de sorte que le dd-21 devient dd(x) tandis que le croiseur devient cg(x).
non seulement les noms, mais aussi la spécification du projet commençant par les nombres de. les 16 000 tonnes hypothétiques devront être réduites à 12 000, tandis que les unités de 32 pouces deviendront 24. Ainsi, la sélection qui voit le vainqueur de l'équipe, mais comme le monde entier est pays, le recours classique de l'équipe vaincue bloque temporairement la procédure.
Enfin, a rejeté l'appel, en août 2002 la victoire de l'or peut être confirmée. La phase 3 commence à ce stade où les entreprises se concentrent sur les technologies les plus "délicates" telles que la réduction du marquage radar et infrarouge, les formes de coque et les systèmes principaux tels que l'environnement informatique total du navire (tsce), le système d'alimentation intégré (ips), le système avancé de canons (ags), le système de lancement vertical horizontal (pvls), la double bande radar (db firewr), la
En 2005, le programme est considéré comme suffisamment développé pour démarrer la production et, dans un délai de quelques mois, les contrats de la phase 4 sont attribués aux principaux contractants: systèmes de défense intégrés de rayonnage, système de bae, martin à cadenas et boeing.
(suivre...) )
Parlons d'un programme né dans les années 90 avec peu de chiffres ambitieux, redimensionnés au fil du temps et qui a survécu aux réductions de dépenses. avant l'analyse technique... un peu d'histoire.
en 1991 la marine nous a commencé le combact de surface du 21 ème siècle, c'est-à-dire un programme dont le but est le développement d'une famille de plates-formes qui, du nombre initial remarquable est tombé à l'étude d'un destroyer de l'année (cacciatorpediniere) et d'uncruiser de l'année (cruiser) et ensuite se concentrer exclusivement sur le premier des deux baptisé dd-21. la nécessité de remplacer la classe de "spruance" et la classe de 51 frégates "perry" avaient déterminé le choix.
Il est évident que les sénateurs stratégiques sont de déterminer la nécessité de se doter d'un système plutôt que d'un autre et de la direction américaine, pris note des changements résultant de l'effondrement du bloc soviétique et, par conséquent, de la possibilité de plus en plus éloignée de confrontation navale dans les grands espaces océaniques, ils ont considéré qu'ils devaient se doter d'unités capables d'opérer dans les environnements de littoral, sans compromettre les opérations en haute mer.
Mais qu'est-ce que cela signifie d'opérer dans l'environnement de littoral ?
Nous commençons par une simple observation, 60% des zones urbaines du monde sont à moins de 50 km des côtes. ce qui en fait des capacités indispensables d'attaque terrestre, surtout en fonction du soutien aux opérations amphibies des marines. En fait, lors de la crise libyenne de 1983-1984 et de la « tempête déserte » de 1991, l'ancienne classe blindée « iowa » de la guerre mondiale et leur artillerie de 406 mm ont repris le rôle de soutien aux tirs navals (ngfs) et de soutien aux tirs navals de surface (nsfs).
mais les environnements côtiers sont le terrain de chasse des redoutables sous-marins conventionnels et de l'aviation au sol donc, ils font également des capacités antisom et antiaériennes indispensables. le nouveau dd-21 devrait donc posséder de telles caractéristiques dans la clé moderne et avec de larges marges de croissance, une plateforme qui est de la garantie d'architecture "ouverte" des futures modernisations.
En janvier 1995, le programme sc-21 a été lancé, qui comprenait les concepts exprimés jusqu'à présent. la marine nous, à cette occasion, croit mener à bien dans une seule solution à la fois la phase conception conception conception et la conception initiale conception de se concentrer immédiatement sur ce que le programme prioritaire qui est le dd-21.
deux équipes industrielles présentes à la course : le . le premier est conduit par les travaux de fer de bain / dinamiques générales avec la participation de la martine écluse, tandis que le second est composé du système de navire grumman nordop et du système de défense intégré de rayonthéon. comme chaque course, à la fin de la sélection, seule une des deux équipes aurait pu continuer avec la signature du contrat de construction des unités.
Mais le 7 mai 2001, alors qu'il s'agissait d'un pas loin de la sélection de l'équipe gagnante, la nouvelle est venue sur la suspension du programme 21 suite à une redéfinition complète des exigences et des concepts opérationnels qui mène en pratique à la définition d'une nouvelle famille d'unités.
donc les lcs (bateaux littoral) sont nés non seulement pour remplacer la classe de frégates "perry" mais aussi la classe de chasseurs "osprey" et "avenger" tandis que pour les croiseurs et les chasses prévues dans le programme supprimé 21 sont à venir des nouvelles importantes...
on pense commencer par la conception d'un destroyer sur la coque duquel on peut alors développer un nouveau croiseur.
dans ce réordre change aussi les noms des programmes de sorte que le dd-21 devient dd(x) tandis que le croiseur devient cg(x).
non seulement les noms, mais aussi la spécification du projet commençant par les nombres de. les 16 000 tonnes hypothétiques devront être réduites à 12 000, tandis que les unités de 32 pouces deviendront 24. Ainsi, la sélection qui voit le vainqueur de l'équipe, mais comme le monde entier est pays, le recours classique de l'équipe vaincue bloque temporairement la procédure.
Enfin, a rejeté l'appel, en août 2002 la victoire de l'or peut être confirmée. La phase 3 commence à ce stade où les entreprises se concentrent sur les technologies les plus "délicates" telles que la réduction du marquage radar et infrarouge, les formes de coque et les systèmes principaux tels que l'environnement informatique total du navire (tsce), le système d'alimentation intégré (ips), le système avancé de canons (ags), le système de lancement vertical horizontal (pvls), la double bande radar (db firewr), la
En 2005, le programme est considéré comme suffisamment développé pour démarrer la production et, dans un délai de quelques mois, les contrats de la phase 4 sont attribués aux principaux contractants: systèmes de défense intégrés de rayonnage, système de bae, martin à cadenas et boeing.
(suivre...) )
numero1
Guest
Tout va bien jusqu'à présent mais...
Mais Lockheed Martin n'était pas dans l'équipe "bleu", la défaite??
:
Mais Lockheed Martin n'était pas dans l'équipe "bleu", la défaite??
:
Exatem
Guest
Vous avez raison. pour essayer de synthétiser, j'ai omis une partie rendant le discours confus.
entre 2002, année de la consécration de l'équipe d'or comme vainqueur, en 2006, année où la marine nous a du début à l'étape 4, c'est-à-dire celle de la conception des détails, une nouveauté importante s'est produite. les entreprises impliquées dans le programme, sont associées à l'équipe nationale de l'Equipe nationale pour laquelle 4 entrepreneurs principaux sont identifiés, les chantiers ngss et biw/gd, le système de défense intégré raytheon, bae. avec un rôle moindre sont également partie de martin cadenassé et de sanglier. Je veux dire, la guerre a été d'abord et puis le gâteau a été partagé.
Désolé pour l'erreur...
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Exatem
Guest
(... suite)
Mais c'est à ce stade qu'il y a un tournant inhabituel et qui sera décisif.
après des discussions animées en fait congrès, pentagone et nous marine s'accordons sur une nouvelle stratégie. au lieu d'attribuer l'intégralité du contrat au vainqueur de la course, il est décidé que les deux premières unités seront construites par deux chantiers différents. l'idée était officiellement de stimuler la concurrence entre les chantiers et ensuite de comparer les résultats en choisissant celui considéré mieux mais en réalité déjà dans cette phase il a été décidé que la commission serait répartie également entre les deux chantiers. Les problèmes d'emploi ont probablement conduit à cette décision en plus de l'objectif de donner aux deux groupes une possibilité importante de développement technologique.
entre tous ces passages, le nombre de dd(x) à construire est passé de 32 déjà réduit à 24, à seulement 8 unités, même si la marina avait indiqué en 16 le nombre nécessaire. le programme avait diminué d'un quart, faisant augmenter de façon disproportionnée le coût de chaque unité. en 2006 la marine nous annonce le badge optique et le nom de la nouvelle classe ; ddg-1000 zumwalt. elmo zumwalt était entre 1970 et 1974 le «chef des opérations navales» de la marine américaine auteur d'une importante réforme de l'état-major de la marine dans une tentative d'améliorer la vie de l'état-major enrôlé et de libérer les tensions raciales. Pendant ce temps les travaux se poursuivent et le 13 février 2008 sont attribués les deux contrats dont le premier à l'équipe bleue d'une valeur de près de 1,4 milliard de dollars et le second, à l'équipe d'or d'une valeur légèrement plus élevée.
À ce stade, on pensait que les obstacles avaient été surmontés, mais au lieu de cela, le 31 juillet 2008, un fait accablant s'est produit. la commission parlementaire responsable, en fait, annonce l'intention d'interrompre le programme aux seules 2 unités en contrat, mais rendu encore plus horrible à certains aspects, sont les raisons qui ont mené à cette décision ; ddg est incapable d'assurer la défense aérienne.
En bref, lorsque nous avions déjà atteint la construction, nous avons réalisé que dans le zumwalt super-technologique ne pouvait pas garantir la même performance du burke, dans la pratique, même si pas officiellement déclaré, nous devons admettre avoir développé des plates-formes avec des dimensions (mais aussi des coûts) disproportionnées au visage de capacités d'exploitation trop limitées et presque confinées aux seuls scénarios côtiers. l'adoption du dbr (double bande radar) ne permet pas l'utilisation de missiles sm-2, sm-3 et futur sm-6, ne renonce pas à la capacité de se défendre contre les missiles balistiques. comme on peut imaginer la décision a soulevé une mer de controverse surtout pour le montant de milliards de dollars déjà dépensé, même parce que Raytheon s'était assuré de pouvoir intégrer ses systèmes à la fois avec sm-2 et avec sm-3...
Mais à mon avis, un fait est particulièrement révélateur de la confusion qui a frappé les sommets de notre marine.
ddg-1000 sont nés avec une suite sonar inadéquate surtout pour une unité destinée à fonctionner dans un environnement côtier ou l'environnement préféré par les sous-marins conventionnels. l'intervention maintenant pour améliorer les performances aurait entraîné une charge supplémentaire importante des coûts sans garantir le dépassement des limites caractéristiques de la plateforme.
parce que la vérité est que la marine américaine a entrepris un programme trop ambitieux, à partir de coûts insoutenables et malgré cela, avec de graves lacunes opérationnelles. Toutefois, même pour des raisons d'emploi, la marine a autorisé la construction d'une troisième unité même si elle devait surmonter un autre obstacle, c'est-à-dire la violation d'une règle qui prévoit en cas d'augmentation importante des coûts la révision du programme; violation causée par la décision de limiter le nombre d'unités à réaliser, partageant ainsi les coûts de recherche et développement sur seulement 3 plates-formes. En fait, lorsque le programme a commencé, l'estimation des coûts, établie en 1998, a fourni 35,8 milliards de dollars pour 32 unités, soit un coût unitaire de 1,14 milliard. aujourd'hui la dernière estimation faite en août 2013 calculé en 22 milliards pair à 7,33 par unité, soit une augmentation de 540% par rapport aux prévisions initiales!
enfin en octobre 2010 même cet obstacle est dépassé...
le 17 novembre 2011 la cérémonie de mise en place de la première unité a eu lieu alors que la construction des modules avait déjà commencé en février 2009. le 28 octobre 2013 le baptême officiel a eu lieu le 12 avril 2014. les premiers essais en mer sont prévus pour le printemps 2015 pour assister à la longue gestation du programme. la deuxième unité a vu le début des travaux en mars 2010, bien que la cérémonie de mise en place ait eu lieu le 23 mai 2013. la livraison est estimée en 2017.
(suivre...) )
Mais c'est à ce stade qu'il y a un tournant inhabituel et qui sera décisif.
après des discussions animées en fait congrès, pentagone et nous marine s'accordons sur une nouvelle stratégie. au lieu d'attribuer l'intégralité du contrat au vainqueur de la course, il est décidé que les deux premières unités seront construites par deux chantiers différents. l'idée était officiellement de stimuler la concurrence entre les chantiers et ensuite de comparer les résultats en choisissant celui considéré mieux mais en réalité déjà dans cette phase il a été décidé que la commission serait répartie également entre les deux chantiers. Les problèmes d'emploi ont probablement conduit à cette décision en plus de l'objectif de donner aux deux groupes une possibilité importante de développement technologique.
entre tous ces passages, le nombre de dd(x) à construire est passé de 32 déjà réduit à 24, à seulement 8 unités, même si la marina avait indiqué en 16 le nombre nécessaire. le programme avait diminué d'un quart, faisant augmenter de façon disproportionnée le coût de chaque unité. en 2006 la marine nous annonce le badge optique et le nom de la nouvelle classe ; ddg-1000 zumwalt. elmo zumwalt était entre 1970 et 1974 le «chef des opérations navales» de la marine américaine auteur d'une importante réforme de l'état-major de la marine dans une tentative d'améliorer la vie de l'état-major enrôlé et de libérer les tensions raciales. Pendant ce temps les travaux se poursuivent et le 13 février 2008 sont attribués les deux contrats dont le premier à l'équipe bleue d'une valeur de près de 1,4 milliard de dollars et le second, à l'équipe d'or d'une valeur légèrement plus élevée.
À ce stade, on pensait que les obstacles avaient été surmontés, mais au lieu de cela, le 31 juillet 2008, un fait accablant s'est produit. la commission parlementaire responsable, en fait, annonce l'intention d'interrompre le programme aux seules 2 unités en contrat, mais rendu encore plus horrible à certains aspects, sont les raisons qui ont mené à cette décision ; ddg est incapable d'assurer la défense aérienne.
En bref, lorsque nous avions déjà atteint la construction, nous avons réalisé que dans le zumwalt super-technologique ne pouvait pas garantir la même performance du burke, dans la pratique, même si pas officiellement déclaré, nous devons admettre avoir développé des plates-formes avec des dimensions (mais aussi des coûts) disproportionnées au visage de capacités d'exploitation trop limitées et presque confinées aux seuls scénarios côtiers. l'adoption du dbr (double bande radar) ne permet pas l'utilisation de missiles sm-2, sm-3 et futur sm-6, ne renonce pas à la capacité de se défendre contre les missiles balistiques. comme on peut imaginer la décision a soulevé une mer de controverse surtout pour le montant de milliards de dollars déjà dépensé, même parce que Raytheon s'était assuré de pouvoir intégrer ses systèmes à la fois avec sm-2 et avec sm-3...
Mais à mon avis, un fait est particulièrement révélateur de la confusion qui a frappé les sommets de notre marine.
ddg-1000 sont nés avec une suite sonar inadéquate surtout pour une unité destinée à fonctionner dans un environnement côtier ou l'environnement préféré par les sous-marins conventionnels. l'intervention maintenant pour améliorer les performances aurait entraîné une charge supplémentaire importante des coûts sans garantir le dépassement des limites caractéristiques de la plateforme.
parce que la vérité est que la marine américaine a entrepris un programme trop ambitieux, à partir de coûts insoutenables et malgré cela, avec de graves lacunes opérationnelles. Toutefois, même pour des raisons d'emploi, la marine a autorisé la construction d'une troisième unité même si elle devait surmonter un autre obstacle, c'est-à-dire la violation d'une règle qui prévoit en cas d'augmentation importante des coûts la révision du programme; violation causée par la décision de limiter le nombre d'unités à réaliser, partageant ainsi les coûts de recherche et développement sur seulement 3 plates-formes. En fait, lorsque le programme a commencé, l'estimation des coûts, établie en 1998, a fourni 35,8 milliards de dollars pour 32 unités, soit un coût unitaire de 1,14 milliard. aujourd'hui la dernière estimation faite en août 2013 calculé en 22 milliards pair à 7,33 par unité, soit une augmentation de 540% par rapport aux prévisions initiales!
enfin en octobre 2010 même cet obstacle est dépassé...
le 17 novembre 2011 la cérémonie de mise en place de la première unité a eu lieu alors que la construction des modules avait déjà commencé en février 2009. le 28 octobre 2013 le baptême officiel a eu lieu le 12 avril 2014. les premiers essais en mer sont prévus pour le printemps 2015 pour assister à la longue gestation du programme. la deuxième unité a vu le début des travaux en mars 2010, bien que la cérémonie de mise en place ait eu lieu le 23 mai 2013. la livraison est estimée en 2017.
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Exatem
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(... suite)
Zumwalt
zumwalts sont des coques innovantes, en effet à certains égards on peut l'appeler révolutionnaire. la construction a lieu à travers la préparation et l'assemblage ultérieur de 85 unités, c'est-à-dire des modules de dimensions relativement petites, qui vont à constituer 9 unités, dont chacune peut atteindre au-delà de 4.000 tonnes.
Ces ultra-unités sont installées dans une grande structure couverte qui vous permet d'atteindre des temps de réalisation plus rapides et de meilleurs niveaux de qualité. Une fois achevée, l'"ultra-unité" est transférée à l'extérieur et reposée sur l'"installation de transfert terrestre" (ltf) qui agit comme un port de construction et permet ensuite le transfert dans l'eau du navire au moyen d'un bassin d'inondation.
la définition «révolutionnaire» trouve sa confirmation en observant les formes de la coque et en particulier l'arc.
il adopte une conformation appelée -Wave percing, car il permet à --Line-- dans la vague et de ne pas suivre le vélo comme dans les configurations traditionnelles. cette configuration inhabituelle est le résultat de la volonté d'obtenir une faible traçabilité radar comme un navire qui ne prend pas, offre une surface réfléchissante inférieure.
toujours pour cette raison, en observant la section transversale, nous remarquons une conformation qui n'a plus été vue à partir des temps des galions, la coque dite «tumlehome», une coque dans laquelle les murs diminuent en largeur du flotteur à la couverture. Ce sont des solutions qui ont logiquement soulevé des doutes et des controverses sur leurs qualités nautiques. en fait a été réalisé un démonstrateur de plus de 40 mètres qui a confirmé les attentes positives des concepteurs s'attendent également à des preuves plus sévères dans les conditions météorologiques marines réelles de vent fort et de mer déplacé. la coque a cependant deux longues ailes anti-roulis non rétractables dans la zone centrale et est réalisée à la cour en fer de bain travaux dans le Maine tandis que la superstructure est construite dans le système de paquebot de nord dans le missipi d'où il est envoyé pour l'assemblage final dans le Maine. sur les deux premières unités la superstructure, le hangar et les lanceurs, sont fabriqués en composite. un noyau de bois de balsa ou de mousse, est recouvert de plusieurs couches de carbone imprégné de résine avec une économie de plusieurs tonnes par rapport à une construction en acier. sur la troisième unité cette solution ne sera pas adoptée pour les problèmes économiques et l'augmentation de poids sera compensée par la suppression d'un radar. Cette imposante superstructure contient tous les locaux utilisés pour les opérations de conduite et de combat, l'échappement et l'aspiration du système moteur, tous les capteurs et antennes qui ne sont plus sur les arbres, mais qui ont flotté dans la structure et caché des panneaux transparents aux émissions.
dans un navire avec des caractéristiques furtives ainsi poussé ne pouvait pas être différent et chaque élément est conçu à cet effet. l'artillerie est en tourelles en forme qui cachent également les roseaux et les aires de travail sont toutes couvertes obtenant une réduction de la piste radar de 50% par rapport à un ddg-51.
la coque mesure 183 mètres de long et 24,5 mètres de large. la plongée est de 8,5 mètres. la hauteur y compris la superstructure atteint 34,5 mètres et ce dernier est de plus de 60 mètres de long pour 21 de largeur. le déplacement devrait être de 14 800 tonnes à pleine charge, même s'il devrait atteindre 16 000 tonnes pendant la durée de vie utile.
mais les innovations ne sont pas seulement celles visibles de l'extérieur... la vraie révolution est le tsce (environnement total de l'informatique navale) c'est-à-dire le réseau d'ordinateurs qui gère et régule tous les aspects du zumwalt contenu dans 16 salles de serveurs à l'inerno de autant de modules protégés contre les interférences magnétiques. a le contrôle de chaque système et appareil du navire, de la propulsion à la production d'énergie, à sa distribution, de la gestion des urgences à la maîtrise des dommages, de la conduite du navire aux systèmes de combat, des capteurs et des communications aux systèmes d'armes et de contre-mesures jusqu'à l'aéronef embarqué.
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Zumwalt
zumwalts sont des coques innovantes, en effet à certains égards on peut l'appeler révolutionnaire. la construction a lieu à travers la préparation et l'assemblage ultérieur de 85 unités, c'est-à-dire des modules de dimensions relativement petites, qui vont à constituer 9 unités, dont chacune peut atteindre au-delà de 4.000 tonnes.
il adopte une conformation appelée -Wave percing, car il permet à --Line-- dans la vague et de ne pas suivre le vélo comme dans les configurations traditionnelles. cette configuration inhabituelle est le résultat de la volonté d'obtenir une faible traçabilité radar comme un navire qui ne prend pas, offre une surface réfléchissante inférieure.
la coque mesure 183 mètres de long et 24,5 mètres de large. la plongée est de 8,5 mètres. la hauteur y compris la superstructure atteint 34,5 mètres et ce dernier est de plus de 60 mètres de long pour 21 de largeur. le déplacement devrait être de 14 800 tonnes à pleine charge, même s'il devrait atteindre 16 000 tonnes pendant la durée de vie utile.mais les innovations ne sont pas seulement celles visibles de l'extérieur... la vraie révolution est le tsce (environnement total de l'informatique navale) c'est-à-dire le réseau d'ordinateurs qui gère et régule tous les aspects du zumwalt contenu dans 16 salles de serveurs à l'inerno de autant de modules protégés contre les interférences magnétiques. a le contrôle de chaque système et appareil du navire, de la propulsion à la production d'énergie, à sa distribution, de la gestion des urgences à la maîtrise des dommages, de la conduite du navire aux systèmes de combat, des capteurs et des communications aux systèmes d'armes et de contre-mesures jusqu'à l'aéronef embarqué.
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Exatem
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Une autre grande nouveauté est la propulsion et la production d'électricité. les ddg-1000 sont tous les bateaux électriques grâce au système de propulsion intégré composé de 2 turbo-générateurs et autant d'unités auxiliaires qui actionnent deux moteurs électriques de propulsion. en essence chaque groupe se compose d'un rouleau royce mt-30 étiquette de 36 mw qui conduit le générateur tandis que l'assistant se compose d'un rouleau royce rr4500 étiquette de 3,9 mw. la puissance totale installée est de 78mw. les moteurs électriques sont deux moteurs à induction avancés convertis de 36 mw qui, sans boîte de vitesses, actionnent deux hélices. la vitesse maximale dépasse 30 nœuds (il y a 33 nœuds). les 4 groupes générateurs fournissent également de l'énergie à tous les utilitaires embarqués. le courant produit à 4160 v, est transformé de l'alternance en continu et abaissé jusqu'à 1000 v puis à travers deux lignes séparées et indépendantes (à droite et à gauche) à leur tour divisées en prora et sterne, distribuées aux utilitaires. Chaque ligne dispose également d'un générateur diesel de secours de 500kw.
le système de combat n'est plus l'égide traditionnelle de la marine américaine mais un nouveau système spécifique développé spécifiquement. Un radar à double bande était initialement prévu, mais, pour contenir des économies de 200 millions de dollars par unité, le raythéon mfr a été adopté avec ses trois antennes planaires qui devront assurer les fonctions de recherche aérienne et de surface, la découverte et le suivi des cibles, la direction des missiles et de l'artillerie.
Il y a 3 capteurs optiques/infrarouges, un radar de navigation et une suite de capteurs sous-marins destinés à découvrir des sous-marins et des mines.
Un grand pont de vol de plus de 710m2 est disponible à deux mh-60r et 3 uav m2-8b/c scout d'incendie. la surface extérieure du hangar est recouverte de tuiles radar absorbantes (ram).
l'armement se compose de deux 30mm mk46 pour une défense rapprochée contre les petits bateaux tandis que l'on remarque l'absence d'un système de défense rapproché comme ciws phalanx antimissile. Vingt modules à 4 cellules mk %/pvls pour 80 puits de lancement, sont positionnés non pas la position centrale comme d'habitude mais le long des murs pour laisser plus d'espace au centre et pour une plus grande sécurité. peut lancer l'essm (missile de bruant de mer évolutif), la fusée antisom vl-a et, tomahawk.
mais la caractéristique la plus importante du système d'armes sont les 2 ags (sysytem de canon avancé) autour desquels la classe zumwalt a été réalisée. les ags ne sont pas simplement un morceau d'artillerie mais c'est en fait un système complexe composé de l'arme, d'une balle spécialement développée et d'un stockage de munitions entièrement automatisé. réalisé par la défense unitaire est devenu alors . . . . . . . . . . . . le canon mesure 62 calibres et utilise un système de refroidissement de l'eau et lorsqu'il n'est pas utilisé, il se trouve dans la tour en forme pour un marquage radar faible. (sur la photo suivante, vous pouvez voir les deux tours dans les deux configurations ouvertes/fermées)
la tour complète pèse 80 tonnes et en dessous il est le stockage munitions 13,7 mètres de long et 9, lourd 160 tonnes.
accueille 304 cartouches chargées sur des palettes contenant chacune 8 charges de lancement et 8 balles de type lap (projectile d'attaque terrestre à longue portée), une balle de 2,2 mètres de long, 104 kg de poids avec propulsion par fusée et une portée de 75 milles nautiques; système de conduite par inertie et gps. le système de chargement est totalement automatique et la cadence de tir est de 10 coups par minute, bien que grâce au mode de l'impact simultané à plusieurs tours, vous puissiez tirer sur la cible 6 balles en 6 secondes.
Quant aux contre-mesures, il y a probablement un système de lancement de leurres mk53 (dls) composé de 137 mk de lanceurs pour leurres actifs et une floraison super rapide pour le lancement de paillettes. les dls peuvent également lancer des tromperies pour torpilles même si il est prévu d'installer un système de découverte et de contraste appelé la défense de torpilles de navire de surface.
une poupe du navire est un endroit qui permet de contenir 2 caoutchoucs avec une quille rigide de 7 ou 11 mètres avec une rampe extensible qui permet des opérations même avec la résistance à la mer 5.
le vaisseau entier est surveillé par des dizaines de caméras et des milliers de capteurs contre ce qui est l'ennemi numéro un pour un navire, le feu. l'aafss (sysytem de suppression d'incendie autonome) contrôle les données obtenues de ce réseau sensoriel et intervient automatiquement en cas d'incendie réduisant le temps d'intervention.
une innovation inhabituelle concerne un système qui n'offre généralement pas beaucoup d'idées aux concepteurs, c'est-à-dire le système d'ancrage. ici ils se sont débarrassés et l'usine trouve un logement au centre du bateau en position interne avec l'ancre qui sort "d'en bas".
de nombreuses autres innovations et l'introduction de niveaux élevés d'automatisation a permis de réduire à 130 le nombre d'hommes embarqués auxquels il faut ajouter les 28 du service de vol et le navire peut naviguer avec seulement 19 personnes en service. tout l'équipage reste dans des cabines de 1,2 et 4 lits selon le degré tandis que les places disponibles sont 186. Des espaces supplémentaires sont prévus pour une équipe de 14 forces spéciales (scellements de chasse).
Par conséquent, pourquoi le programme ddg-1000 représenterait-il un échec? la réponse se trouve précisément dans les fonctionnalités énumérées. Dans la pratique, ces unités sont construites à des coûts exorbitants, presque exclusivement autour des deux ags, ce qui limite leur fonctionnement à un seul type de mission, c'est-à-dire le soutien à l'incendie d'armes à feu d'origine navale. Les capacités de défense aérienne sont limitées pour ne pas mentionner ces anti-sous-marins. sous l'aspect technique alors, est remis en question la résistance en cas de feu d'une structure en bois et composites. d'autres perplexités découlent de la décision de la marine d'abandonner cette solution constructive après les deux premières unités, en faveur d'un acier plus traditionnel car cela implique une redistribution des poids vers le haut avec les risques d'instabilité qui en résultent encore à contrôler. Le destructeur futuriste du rapport coût-efficacité est très douteux.
(dans l'image de comparaison entre zumwalt et d'autres unités de la marine)
(suivre...) )
Une autre grande nouveauté est la propulsion et la production d'électricité. les ddg-1000 sont tous les bateaux électriques grâce au système de propulsion intégré composé de 2 turbo-générateurs et autant d'unités auxiliaires qui actionnent deux moteurs électriques de propulsion. en essence chaque groupe se compose d'un rouleau royce mt-30 étiquette de 36 mw qui conduit le générateur tandis que l'assistant se compose d'un rouleau royce rr4500 étiquette de 3,9 mw. la puissance totale installée est de 78mw. les moteurs électriques sont deux moteurs à induction avancés convertis de 36 mw qui, sans boîte de vitesses, actionnent deux hélices. la vitesse maximale dépasse 30 nœuds (il y a 33 nœuds). les 4 groupes générateurs fournissent également de l'énergie à tous les utilitaires embarqués. le courant produit à 4160 v, est transformé de l'alternance en continu et abaissé jusqu'à 1000 v puis à travers deux lignes séparées et indépendantes (à droite et à gauche) à leur tour divisées en prora et sterne, distribuées aux utilitaires. Chaque ligne dispose également d'un générateur diesel de secours de 500kw.
le système de combat n'est plus l'égide traditionnelle de la marine américaine mais un nouveau système spécifique développé spécifiquement. Un radar à double bande était initialement prévu, mais, pour contenir des économies de 200 millions de dollars par unité, le raythéon mfr a été adopté avec ses trois antennes planaires qui devront assurer les fonctions de recherche aérienne et de surface, la découverte et le suivi des cibles, la direction des missiles et de l'artillerie.
Il y a 3 capteurs optiques/infrarouges, un radar de navigation et une suite de capteurs sous-marins destinés à découvrir des sous-marins et des mines.
Un grand pont de vol de plus de 710m2 est disponible à deux mh-60r et 3 uav m2-8b/c scout d'incendie. la surface extérieure du hangar est recouverte de tuiles radar absorbantes (ram).
l'armement se compose de deux 30mm mk46 pour une défense rapprochée contre les petits bateaux tandis que l'on remarque l'absence d'un système de défense rapproché comme ciws phalanx antimissile. Vingt modules à 4 cellules mk %/pvls pour 80 puits de lancement, sont positionnés non pas la position centrale comme d'habitude mais le long des murs pour laisser plus d'espace au centre et pour une plus grande sécurité. peut lancer l'essm (missile de bruant de mer évolutif), la fusée antisom vl-a et, tomahawk.
mais la caractéristique la plus importante du système d'armes sont les 2 ags (sysytem de canon avancé) autour desquels la classe zumwalt a été réalisée. les ags ne sont pas simplement un morceau d'artillerie mais c'est en fait un système complexe composé de l'arme, d'une balle spécialement développée et d'un stockage de munitions entièrement automatisé. réalisé par la défense unitaire est devenu alors . . . . . . . . . . . . le canon mesure 62 calibres et utilise un système de refroidissement de l'eau et lorsqu'il n'est pas utilisé, il se trouve dans la tour en forme pour un marquage radar faible. (sur la photo suivante, vous pouvez voir les deux tours dans les deux configurations ouvertes/fermées)
la tour complète pèse 80 tonnes et en dessous il est le stockage munitions 13,7 mètres de long et 9, lourd 160 tonnes.accueille 304 cartouches chargées sur des palettes contenant chacune 8 charges de lancement et 8 balles de type lap (projectile d'attaque terrestre à longue portée), une balle de 2,2 mètres de long, 104 kg de poids avec propulsion par fusée et une portée de 75 milles nautiques; système de conduite par inertie et gps. le système de chargement est totalement automatique et la cadence de tir est de 10 coups par minute, bien que grâce au mode de l'impact simultané à plusieurs tours, vous puissiez tirer sur la cible 6 balles en 6 secondes.
Quant aux contre-mesures, il y a probablement un système de lancement de leurres mk53 (dls) composé de 137 mk de lanceurs pour leurres actifs et une floraison super rapide pour le lancement de paillettes. les dls peuvent également lancer des tromperies pour torpilles même si il est prévu d'installer un système de découverte et de contraste appelé la défense de torpilles de navire de surface.
une poupe du navire est un endroit qui permet de contenir 2 caoutchoucs avec une quille rigide de 7 ou 11 mètres avec une rampe extensible qui permet des opérations même avec la résistance à la mer 5.
le vaisseau entier est surveillé par des dizaines de caméras et des milliers de capteurs contre ce qui est l'ennemi numéro un pour un navire, le feu. l'aafss (sysytem de suppression d'incendie autonome) contrôle les données obtenues de ce réseau sensoriel et intervient automatiquement en cas d'incendie réduisant le temps d'intervention.
une innovation inhabituelle concerne un système qui n'offre généralement pas beaucoup d'idées aux concepteurs, c'est-à-dire le système d'ancrage. ici ils se sont débarrassés et l'usine trouve un logement au centre du bateau en position interne avec l'ancre qui sort "d'en bas".
de nombreuses autres innovations et l'introduction de niveaux élevés d'automatisation a permis de réduire à 130 le nombre d'hommes embarqués auxquels il faut ajouter les 28 du service de vol et le navire peut naviguer avec seulement 19 personnes en service. tout l'équipage reste dans des cabines de 1,2 et 4 lits selon le degré tandis que les places disponibles sont 186. Des espaces supplémentaires sont prévus pour une équipe de 14 forces spéciales (scellements de chasse).
Par conséquent, pourquoi le programme ddg-1000 représenterait-il un échec? la réponse se trouve précisément dans les fonctionnalités énumérées. Dans la pratique, ces unités sont construites à des coûts exorbitants, presque exclusivement autour des deux ags, ce qui limite leur fonctionnement à un seul type de mission, c'est-à-dire le soutien à l'incendie d'armes à feu d'origine navale. Les capacités de défense aérienne sont limitées pour ne pas mentionner ces anti-sous-marins. sous l'aspect technique alors, est remis en question la résistance en cas de feu d'une structure en bois et composites. d'autres perplexités découlent de la décision de la marine d'abandonner cette solution constructive après les deux premières unités, en faveur d'un acier plus traditionnel car cela implique une redistribution des poids vers le haut avec les risques d'instabilité qui en résultent encore à contrôler. Le destructeur futuriste du rapport coût-efficacité est très douteux.
(dans l'image de comparaison entre zumwalt et d'autres unités de la marine)(suivre...) )
numero1
Guest
Toujours très intéressant, merci.
Je veux dire, synthétisé, ce qui pourrait potentiellement être un grand morceau de vaisseau se révèle pour un grand échec, si seulement vous aviez pensé un peu mieux sur la façon de le faire + multi rôle.
Pas vrai ?
Je veux dire, synthétisé, ce qui pourrait potentiellement être un grand morceau de vaisseau se révèle pour un grand échec, si seulement vous aviez pensé un peu mieux sur la façon de le faire + multi rôle.
Pas vrai ?
Exatem
Guest
Je pense qu'ils ont commencé avec l'idée habituelle de rendre le médium universel bon pour tout, mais ensuite pour l'impossibilité technique et les coûts exorbitants ils ont mutilé de plus en plus un projet qui avait bien d'autres ambitions. à la fin de toutes les unités qui ont dû être construites fera très peu, il semble trois, faisant augmenter le prix unitaire de chacune d'entre elles à nouveau.
Mais comme je l'ai dit, l'état confus qui semble avoir frappé les dirigeants américains ne se limite pas à cette affaire. Attendez de lire la suite.. .
numero1
Guest
Je suis confiant...
Exatem
Guest
(... suite)
dans la prémisse nous avions vu comment dans les intentions les lcs devaient être une unité relativement économique par rapport aux unités américaines actuelles dont le coût unitaire dépasse souvent le milliard de dollars, capable d'être produit en grand nombre et, capable d'effectuer plusieurs missions débarquant et embarquant les modules nécessaires.
l'objectif était de construire rapidement 55 lcs, aussi parce que fait avec des normes commerciales, mais beaucoup d'exposants de la marine nous avons maintenu ce choix inapproprié aux unités destinées à opérer dans les eaux côtières insidieuses. Ces révisions ont entraîné des changements au projet initial qui ont dépassé le temps et les coûts. Par exemple, aucun système de combat avancé tel que ceux embarqués à bord sur le burke ou leticonderoga, en effet tous les capteurs et systèmes devaient être contenus dans les modules de mission à embarquer de temps en temps.
la simplicité du projet aurait dû permettre des rythmes de production élevés et l'équipage très contenu afin de réduire les coûts d'exploitation.
Mais comme l'a admis l'amiral Guillory, les objectifs initiaux étaient trop optimistes quant aux coûts et au calendrier. En fait, les deux premiers livres avaient un coût trois fois plus élevé que prévu 220 millions et leur construction exigeait plus d'un an que prévu. cela a déterminé l'annulation d'unités supplémentaires et seuls les troisième et quatrième ont été autorisés.
comme nous l'avons vu tout est né de la puissance marine 21.
le programme a été annoncé en novembre 2001 lorsque les trois unités de chasseurs de nouvelle génération ont été définies sur lesquelles la nouvelle marine se présenterait : un destroyer pour le soutien de tir longue distance dd(x); un croiseur pour la défense aérienne cg(x) et lcs. l'année suivante ont été définies les caractéristiques techniques et de performance par rapport à la plate-forme, les capacités de l'aéronef, etc.
les caractéristiques du projet étaient les suivantes: vitesse d'au moins 40 nœuds, autonomie d'environ 3500 milles, fonctionnement d'un hélicoptère de type mh-60r et d'un uav également avec force maritime 5, possibilité de fonctionner avec des gencives à quille rigide à partir de 11 mètres également avec force maritime 3, équipage n'excédant pas 50 réel avec au moins 75 lits, vivant pendant 21 jours, systèmes d'approvisionnement en mer et temps de reconfiguration des modules en 4 jours.
L'obligation absolue était la plongée correspondant à la pleine charge qui ne devait pas dépasser 6 mètres pour permettre l'accès aux ports et aux zones côtières.
à l'étape préliminaire, sur la base de ces exigences, il y avait 6 concurrents qui étaient orientés sur une plate-forme conventionnelle, du type normalement adopté pour les corvettes et les frégates qui, cependant, ne satisfaisaient pas à la volonté d'innovation de la marine nous.
à la fin de cette sélection initiale, trois contrats ont été attribués à des projets soumis par autant de consortiums, l'un au groupe Im dirigé par lockheed martin, l'autre au groupe gd dirigé par la dynamique générale et le troisième, au groupe raytheon.
au groupe lm a contribué fincantieri qui a fourni la famine sur laquelle le projet est basé, une coque semi-planante en acier capable de dépasser 40 noeuds malgré les 115 mètres de long et les 17.3 de large et avec une immersion de 3,9 mètres, dérivée du projet destriero, vainqueur du ruban bleu en 1992.
tout aussi innovant la solution, en effet, plus frappante, offert par le groupe gd. sur la base des expériences sur les ferries rapides australiennes construites à partir de l'austal, a été proposé un trimaran en aluminium avec une coque centrale très étroite mais avec une très haute stabilité offerte par les deux bottes latérales dans la pièce centrale. 127,3 mètres de long et 31,5 mètres de large, a une immersion de 4,3 mètres.
le troisième groupe a proposé une solution inspirée par le patrouilleur avec effet de surface, déjà utilisé dans 5 spécimens de la marine norvégienne, aluminium et matériaux composites, pouvant dépasser 50 nœuds.
En mai 2004, les contrats ont été réduits à deux, avec la sélection des propositions de lm et gd auxquelles un contrat a été proposé pour la réalisation du détail du projet et l'option pour la construction de deux unités chacune. Les deux coques déplacent environ 3000 tonnes et ont de grands ponts de vol. Voyons-les plus en détail à partir du projet lm.
(suivre...) )
dans la prémisse nous avions vu comment dans les intentions les lcs devaient être une unité relativement économique par rapport aux unités américaines actuelles dont le coût unitaire dépasse souvent le milliard de dollars, capable d'être produit en grand nombre et, capable d'effectuer plusieurs missions débarquant et embarquant les modules nécessaires.
l'objectif était de construire rapidement 55 lcs, aussi parce que fait avec des normes commerciales, mais beaucoup d'exposants de la marine nous avons maintenu ce choix inapproprié aux unités destinées à opérer dans les eaux côtières insidieuses. Ces révisions ont entraîné des changements au projet initial qui ont dépassé le temps et les coûts. Par exemple, aucun système de combat avancé tel que ceux embarqués à bord sur le burke ou leticonderoga, en effet tous les capteurs et systèmes devaient être contenus dans les modules de mission à embarquer de temps en temps.
la simplicité du projet aurait dû permettre des rythmes de production élevés et l'équipage très contenu afin de réduire les coûts d'exploitation.
Mais comme l'a admis l'amiral Guillory, les objectifs initiaux étaient trop optimistes quant aux coûts et au calendrier. En fait, les deux premiers livres avaient un coût trois fois plus élevé que prévu 220 millions et leur construction exigeait plus d'un an que prévu. cela a déterminé l'annulation d'unités supplémentaires et seuls les troisième et quatrième ont été autorisés.
comme nous l'avons vu tout est né de la puissance marine 21.
le programme a été annoncé en novembre 2001 lorsque les trois unités de chasseurs de nouvelle génération ont été définies sur lesquelles la nouvelle marine se présenterait : un destroyer pour le soutien de tir longue distance dd(x); un croiseur pour la défense aérienne cg(x) et lcs. l'année suivante ont été définies les caractéristiques techniques et de performance par rapport à la plate-forme, les capacités de l'aéronef, etc.
les caractéristiques du projet étaient les suivantes: vitesse d'au moins 40 nœuds, autonomie d'environ 3500 milles, fonctionnement d'un hélicoptère de type mh-60r et d'un uav également avec force maritime 5, possibilité de fonctionner avec des gencives à quille rigide à partir de 11 mètres également avec force maritime 3, équipage n'excédant pas 50 réel avec au moins 75 lits, vivant pendant 21 jours, systèmes d'approvisionnement en mer et temps de reconfiguration des modules en 4 jours.
L'obligation absolue était la plongée correspondant à la pleine charge qui ne devait pas dépasser 6 mètres pour permettre l'accès aux ports et aux zones côtières.
à l'étape préliminaire, sur la base de ces exigences, il y avait 6 concurrents qui étaient orientés sur une plate-forme conventionnelle, du type normalement adopté pour les corvettes et les frégates qui, cependant, ne satisfaisaient pas à la volonté d'innovation de la marine nous.
à la fin de cette sélection initiale, trois contrats ont été attribués à des projets soumis par autant de consortiums, l'un au groupe Im dirigé par lockheed martin, l'autre au groupe gd dirigé par la dynamique générale et le troisième, au groupe raytheon.
au groupe lm a contribué fincantieri qui a fourni la famine sur laquelle le projet est basé, une coque semi-planante en acier capable de dépasser 40 noeuds malgré les 115 mètres de long et les 17.3 de large et avec une immersion de 3,9 mètres, dérivée du projet destriero, vainqueur du ruban bleu en 1992.
tout aussi innovant la solution, en effet, plus frappante, offert par le groupe gd. sur la base des expériences sur les ferries rapides australiennes construites à partir de l'austal, a été proposé un trimaran en aluminium avec une coque centrale très étroite mais avec une très haute stabilité offerte par les deux bottes latérales dans la pièce centrale. 127,3 mètres de long et 31,5 mètres de large, a une immersion de 4,3 mètres.le troisième groupe a proposé une solution inspirée par le patrouilleur avec effet de surface, déjà utilisé dans 5 spécimens de la marine norvégienne, aluminium et matériaux composites, pouvant dépasser 50 nœuds.En mai 2004, les contrats ont été réduits à deux, avec la sélection des propositions de lm et gd auxquelles un contrat a été proposé pour la réalisation du détail du projet et l'option pour la construction de deux unités chacune. Les deux coques déplacent environ 3000 tonnes et ont de grands ponts de vol. Voyons-les plus en détail à partir du projet lm.(suivre...) )